Pour pouvoir conduire une voiture en ville, il faut d’abord avoir le permis de conduire. Pour l’acquérir, on doit suivre des cours sur la conduite et le Code de la route et ensuite passer un examen. Dans la plupart du temps, le pourcentage de réussite varie en fonction des heures de conduites passées avec le moniteur. Cependant, en faisant preuve de sang-froid, d’organisation et de rigueur, tout est possible. Voici quelques conseils de conduite incontournables à retenir qui vous permettront de réussir votre test.
Maîtriser les bases fondamentales de la conduite
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, réussir le permis de conduire n’est pas facile. Savoir conduire un véhicule n’est pas inné chez une personne, mais s’apprend. Avant de vous présenter aux épreuves, vous devez impérativement avoir quelques bases sur la conduite. Dans un premier temps, il faut maîtriser le Code de la route à la perfection. Règles de priorité, limitations de vitesse, panneaux… ce sont les piliers pour aller à l’examen dans les conditions optimales.
Ensuite, il faut savoir conduire un véhicule. Cela peut paraître insensé, mais comment espérez-vous avoir le permis alors que vous n’avez jamais pratiqué ? Savoir exécuter les manœuvres de base (tourner le volant, marche arrière…), ne suffit pas. Vous devrez d’abord être capable d’enchaîner les vitesses, et cela, sans être calé. Il s’avère que les examinateurs sont très inflexibles sur ce point.
N’oubliez pas de bien faire attention lorsque vous contrôlez l’automobile. Veillez à ce que vous réalisiez des rétrogradations de vitesses intérieures avant de ralentir et latérales avant d’actionner un clignotant. Les angles morts sont également à considérer. Afin d’y parvenir, tourner la tête et regarder ce qu’il y a, avant d’opérer à un changement de direction. Le secret pour réussir le permis de conduire, c’est la persévérance.
Savoir démarrer et arrêter le moteur correctement
Le fait de savoir démarrer et s’arrêter correctement fait partie des acquis incontournables afin de réussir le permis de conduire. Le démarrage de la voiture et l’éventuel calage engendrent particulièrement le stress pour de nombreux candidats. Pour vous débarrasser de cette sensation d’angoisse, enfoncez au maximum la pédale d’embrayage, mettez la première vitesse et accélérez légèrement. Ensuite, laissez gentiment la pédale remonter jusqu’au point de patinage. Lorsque le bruit du moteur change, maintenez-la en position de façon à la bloquer.
Pour l’arrêter, il vous faudra relâcher l’accélérateur et appuyer sur le frein. Vous devrez, par la suite, fortement débrayer avant de terminer le freinage. Pour terminer, mettez la boîte de vitesse au point mort, laissez remonter l’embrayage et actionner le frein à main.
Quelles sont les manœuvres à effectuer pour le jour J ?
Vous l’aurez sans doute deviné, les manœuvres imposées par l’examinateur seront les mêmes que les particuliers confrontent au quotidien. Vous retrouverez notamment :
— le stationnement en créneau : le principe est d’insérer la voiture entre deux véhicules. L’un se place devant, et l’autre derrière. Vous devrez donc jouer avec votre volant tout en contrôlant votre vitesse et votre embrayage.
— la marche arrière en ligne droite et en courbe : en ligne droite, vous devez d’abord vérifier l’environnement, car durant la manœuvre, vous ne devez pas gêner le flux de la circulation. Pour la marche arrière en courbe, il vous faudra utiliser votre volant avec délicatesse, reculer avec le clignotant activé et prendre la courbe en douceur.